Pourquoi votre Oméga-3 Index est vital pendant la grossesse et l’allaitement.
Qu’est-ce que l’Oméga-3 Index, et pourquoi est-il important ?
L’Oméga-3 Index mesure la concentration en oméga-3 (DHA + EPA) dans les membranes de vos globules rouges. C’est un indicateur scientifique fiable de votre santé inflammatoire, cardiovasculaire et cognitive.
Pendant la grossesse et l’allaitement, il devient un marqueur encore plus essentiel : un Oméga-3 Index trop bas est associé à un risque accru de dépression post-partum, de fatigue mentale, et peut nuire au développement du cerveau de votre bébé.
Le DHA (acide docosahexaénoïque ou cervonique), un omega-3, est l’un des nutriments les plus critiques pour la santé de la maman… et le bon développement de l’enfant.
Votre bébé reçoit en priorité votre DHA
Le DHA est un acide gras oméga-3 essentiel, particulièrement concentré dans le cerveau.
Pendant la grossesse, la maman apporte massivement son DHA au futur bébé.
Lors des 100 derniers jours de la grossesse, la maman apporte chaque jour 100 mg de DHA à son bébé.
Si elle n’a pas stocké ce DHA dans ses réserves graisseuses, elle va puiser dans son stock de survie qui est… son cerveau. Le DHA est également appelé acide cervonique car il est le composant principal du cerveau et des cellules nerveuses.
Le cerveau d’une future maman contient environ 50 g de DHA, lors du dernier trimestre la maman donne chaque jour jusqu’à 100 mg de DHA, soit 10 g sur les 100 derniers jours.
Si ses réserves dans les graisses sont insuffisantes, la maman puisera dans ses réserves neuronales soit 20 % de son cerveau !
Cette générosité de la maman a un coût énorme pour la santé de la maman, elle épuise jusqu’à la dernière goutte ses réserves et peut entraîner rapidement une dépression post partum.
Une étude publiée dans The American Journal of Clinical Nutrition (2006) a montré que les réserves en DHA des femmes enceintes peuvent chuter de 50 % pendant la grossesse et l’allaitement. 1 2
Quand le cerveau de la maman s’épuise
Cette déplétion n’est pas sans conséquences pour la maman. En effet, le cerveau est le principal réservoir de DHA de l’organisme.
Lorsque les réserves sont vidées, cela peut entraîner :
- brouillard mental
- fatigue émotionnelle
- troubles du sommeil,
- risque accru de baby blues ou de dépression post-partum.
La baisse de DHA dans le cerveau de la maman pourrait expliquer le fameux “baby blues”
Une méta-analyse (une étude scientifique qui compile le résultat d’autres études) a confirmé que la supplémentation en oméga-3, et notamment en DHA, réduit significativement les symptômes dépressifs chez les femmes en période périnatale. 3
Grossesse et carence en Oméga-3 DHA : un transfert silencieux
Le DHA continue d’être fortement mobilisé pendant l’allaitement, car le lait maternel est naturellement riche en DHA – à condition que la mère en ait suffisamment.
Or, les niveaux de DHA dans le lait varient fortement selon l’alimentation de la mère.
Une étude internationale publiée dans Prostaglandins, Leukotrienes and Essential Fatty Acids (2007) a démontré que les femmes européennes ont parmi les plus faibles teneurs en DHA dans leur lait, faute d’un apport suffisant en oméga-3 alimentaires. 4
Nous avons montré lors d’une étude clinique que la prise quotidienne de 250 mg de DHA lors de l’allaitement permet d’augmenter de 300 % la teneur de DHA + EPA dans le lait maternel. Il retrouve la composition du lait de nos arrière grands-mères :
Et votre Oméga-3 Index dans tout ça ?
Le Omega-3 Index est le reflet objectif de votre statut en EPA+DHA. Chez une femme enceinte ou allaitante, il devrait idéalement être supérieur à 8 % 5 pour garantir :
- Le bon développement du bébé,
- Une meilleure stabilité émotionnelle maternelle,
- Une récupération post-partum plus sereine.
Or, selon les données européennes, plus de 80 % des femmes en âge de procréer ont un Omega-3 Index inférieur à 5 %, seuil considéré comme insuffisant.
La communauté scientifique considère qu’il faut avoir un Oméga-3 Index supérieur à 8 % dans le sang, pour couvrir les besoins du nourrisson sans puiser dans les réserves cérébrales de la maman.
Comment remonter rapidement votre taux de DHA ?
La solution : une supplémentation quotidienne ciblée, facilement assimilable, et adaptée à la maternité.
La recommandation du Docteur Thomas Erpicum : “C’est ce que proposent nos barres DHA 100 % vegan , c’est-à-dire 100 % végétales, 100 % gourmandes et avec une parfaite biodisponibilité.”
1 barre YoDHA maternité = 250 mg de DHA hautement biodisponible = la dose idéale pour accompagner votre grossesse ou votre allaitement.
2 gestes santé simples à faire
Rétablir son niveau d’omega-3
FAQ - Oméga-3 et maternité
Quels sont les bienfaits des oméga-3 pendant la grossesse?
Les oméga-3:
– participent à la construction du cerveau et des yeux du fœtus,
– préservent le bien-être émotionnel de la mère…
– … et préviennent certaines complications périnatales.
Pourquoi suis-je carencée en DHA (ou acide cervonique qui est un oméga-3) ?
Parce que votre corps donne en priorité ce nutriment à votre enfant, et que l’alimentation moderne est trop pauvre en DHA.
Puis-je prendre votre barre YoDHA pendant l’allaitement ?
Oui, elle est parfaitement adaptée à l’allaitement. Le DHA contenu dans notre barre enrichit naturellement votre lait.
Comment connaître mon Oméga-3 Index ?
Nous proposons un test simple à domicile pour mesurer précisément votre taux, cliquez ici.
“Prenez soin de vous, vous le méritez. Et votre bébé aussi.”
[1] Hibbeln JR, Nieminen LR, Blasbalg TL, Riggs JA, Lands WE. Healthy intakes of n-3 and n-6 fatty acids: estimations considering worldwide diversity. Am J Clin Nutr. 2006 Jun; 83 (6 Suppl):1483S-1493S.
[2] Mei-Chi Hsu, Chia-Yi Tung, Hsing-E Chen, Omega-3 polyunsaturated fatty acid supplementation in prevention and treatment of maternal depression: Putative mechanism and recommendation, Journal of Affective Disorders, Volume 238, 2018, Pages 47-61
[3] Joseph R. Hibbeln, Seafood consumption, the DHA content of mothers’ milk and prevalence rates of postpartum depression: a cross-national, ecological analysis, Journal of Affective Disorders, Volume 69, Issues 1–3, 2002, Pages 15-29,
[4] Brenna JT, Diau GY. The influence of dietary docosahexaenoic acid and arachidonic acid on central nervous system polyunsaturated fatty acid composition. Prostaglandins Leukot Essent Fatty Acids. 2007 Nov-Dec;77(5-6):247-50.
[5] Devarshi PP, Grant RW, Ikonte CJ, Hazels Mitmesser S. Maternal Omega-3 Nutrition, Placental Transfer and Fetal Brain Development in Gestational Diabetes and Preeclampsia. Nutrients. 2019 May 18;11(5):1107.
